Hommage
à Q.I. : Jamais
de peace Revolution Blèh : Euh voilà, Q.I, deux ans de conneries, un an de bonnes conneries, un autre de connerie monumentale. Enfin euh… Pas forcément… c’est con chuis arrivé au numéro 12…. Le début de la fin. Enfin bon. Edwin :
Qu’est-ce que j’fous içi ? Blèh : Voilà
alors je ne voulais pas rien faire pour ce webzine qui m’a bien
aidé psychologiquement. C’est pourquoi j’ai invité du monde.
Y’a Keldorn, Snake, Le CID’E, Claire, Edwin, Stive, Lolinna,
Jan, Saretork, Smeuuh, et euh moua. Ya aussi les Paladins Bourrés…. Paladins : LA
PITCHOULI ! LA PITCHOULI ! LE RENDEZ-VOUS DE TOUS LES
BASQUES DU PAYS ! Blèh : Bon un psychologue vous dirai que lorsqu’on écrit un texte, les personnages représentent très souvent les aspects du caractère de l’auteur, et les situation, sa vie. Sachant que raconter ce qui nous arrive (notre journée, nos angoisses, nos joies, etc) peut suffire à soulager, on peut facilement conclure, sans créer un sophisme, que l’écriture reste une des meilleures psychothérapie, et de surcroît la moins coûteuse. La quête ultime d’un auteur est d’arriver à distraire les lecteurs en les faisant réfléchir -ou pas- sur des thèmes divers touchant plus ou moins de personnes. Inutile de dire que ce n’est absolument pas ce que j’ai fait :) Q.I. m’a révélé à
moi-même, m’a permis de m’exprimer librement, avec la
contrainte de l’humour (mais existe-t-il réellement une liberté
d’expression puisque la liberté est elle même une contrainte
dans son genre ?). Par dessus tout, Q.I. m’a permis de me
faire de vrai amis. Edwin :
Ta gueule. Blèh :
Voilà, Edwin, c’est moi. C’est mon autocensure. C’est quand
je sens que je deviens chiant. Edwin :
Putain ta gueule…. Blèh :
Ecoute moi bien grosse merde, içi, t’es chez moi (et aussi chez
Keldorn, vu que c’est son château) dès que je veux je te bute ta
face que même ta sœur elle en chiera sa chatte !!!!!! Keldorn :
Blèh, viens bouffer, y’a des tournedos… Blèh :
Y’avait ça au moyen-âge ? Keldorn :
Aucune idée, j’m’en bat. TOUTOUTOU Snake :
Puis-je avoir votre attention ? Edwin : Va te faire fout… Ce cher Edwin reçoit alors une mégabouffe atomique qui le projète contre la pierre bien dure du château, qui devient soudainement rouge. Edwin :
Aïeu. Snake :
Bon alors, je peux parler ? Blèh :
Oui oui. Snake : En l’honneur de notre créateur, de notre « éditeur » et de nos inspiration, je m’en vais vous chanter une joyeuse chanson. Hum hum ! *Toudidaaa !* Oyez gentes dames et gentes men ! Bawabawa ! Snake
est back ! Back
to the jamais de peace powa ! Tikitikiti ! Canne iou filitte ? Bawabawa let’s partit ! Ch’tit Blèh dans son château Se faisait bien chieeer ! Ch’tit Blèh tout la haaaut Aimait à rigoler ! Ohéohéohéééé ! Blèh :
J’t’arrête tout de suite, c’est nul à chier. Snake : Bon ben temps pis. CHBOOOOOUUUUIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!! (bruit de porte dimensionnelle) Messager :
PUTAINLESGARSCESTHORRIBLEYANOTRECHATEAULOUFESTEINQUISEFAITATTAQUERPARDESORCSCOMMANDES Tout
le monde : … Messager : ….. Le Château loufenstein est attaquez par des orcs, on a mal, bougez-vous le cul et aidez-nous. CHIONF ! (claquement de porte dimensionnelle) Blèh :
On y go.
Nos amis se dirigent donc vers le-dit château, euh non le château
loufenstein haha putain je suis trop drôle aujourd’hui. Snake :
Oulala c’est pas beau à voir. Messager :
Bande de cons si vous passiez moins de temps à faire des banquets
et plus à aidez le peuple, ptète ben que vous auriez pu nous aider ! Le
peuple : Ouais vous êtes rien que des méchants
d’abord ! Keldorn :
What the fuck ?* *quoi l’encule ? Stive
: M’est avis qu’on devrait se tirer d’ici. Le
peuple : REVOLUTION ! Jan :
Je confirme. Le
peuple : REVOLUTION ! Keldorn :
Okay
team, follow my command !* *d’accord
équipe, suis ma commande ! Nos amis courent donc vers le château de Keldorn qui possède de nombreux atouts défensifs tels que des mitrailleuses, des lances-flammes, des tourelles SA, mais qui possède aussi 6 sales de bains, 5 salles à manger, 70 chambres, 4 greniers, 10 cuisnines, 50 télévisions, 90 ordinateurs, confort moderne, chauffage par le sol, service téléphonique gratuit, JamaisDePeace-Keldorn’s château : téléphonez au 05 95 26 78 45 96 78 pour la documentation gratuite. Keldorn, éssouflé : Foouuu ! … on y est… fouuu ! Vous remarquerez la qualité des onomatopées.
Stive :
Arg. Le peuple nous a suivit jusqu’ici ! Keldorn : Shit !* *caca ! Le
peuple :*frappe aux portes* Lolinna :
Que va-t-on faire ? Keldorn :
On ne peut pas se permettre de tirer sur le peuple ! Le peuple : On pète la porte et on rentre !
Le peuple commence alors à frapper frénétiquement sur les
portes du château. Soudain, une clameur manuelle à rythme trinaire
semble résulter de ces frappement. We
Will Rock You*, quoi. *on
va te caillou. Le peuple : Ré-vol-tés !
Ré-vol-tés ! Ré-vol-tés ! Ré-vol-tés ! On en a ras ras’l’cul de tous ces enculés, De rois qui nous font chier avec leurs idées ! On veut la liberté de labourer nos champs Et d’les ensemencer quand l’envie nous en prend ! On est révoltés ! On en peut plus ! De ces trous du culs, Qui nous font chier ! On veut, on veut d’la tune ! Ré-vo-lu-tion du peuple ! Edwin :
C’est vraiment nul à chier, en plus. Keldorn,
se penchant à la fenêtre : Du calme, citoyens. Vous
aurez ce que vous voulez ! Le
peuple : ON EN VEUT ENCORE PLUS ! Stive :
Quoi ? Keldorn :
Ouais c’est çà ! et puis quoi, encore, hein ? Allez,
cassez-vous ! Le
peuple : HHOOOOooooooooo…….. Keldorn,
fermant les volets : ‘Faut pas déconner quand même… Blèh : Bon ben vouala. Super FIN qui tue … Z’êtes encore là ? Merde. ‘Faut que je laisse les lecteurs sur une bonne impression, pas une fin creuse. Je vais faire comme en Amérique : le coup des fausses scènes coupées pas drôles. * Keldorn, fermant les volets : ‘Faut pas déconner, on peut pas cautionner, passez sa vie à zoner, à monter des poneys ! -Rires enregistrés- * Stive : M’est avis qu’on devrait se… *ROT* hahaha ! -Rires enregistrés- * Edwin : *PROUT* -Rires enregistrés- * *\Fin/*
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